AMINTIRI DESPRE VIITOR-ROMÂNIA DE MÂINE , RrOMANIKA BABANA
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Mesaj Scris de Admin Dum Iun 23, 2019 6:43 am

Série de manuels révisionnistes de Barnes Review, Volume 1
LE CANULAR DE
L’HOLOCAUSTE DÉVOILÉ
Démythification du plus gros mensonge du 20e siècle
Par Victor Thorn
PUBLIÉ PAR THE BARNES REVIEW
Traduction de Roch Richer
2
Présentation Présentation
La recherche sur l’Holocauste est une entreprise dangereuse. Aujourd’hui, si un
livre semblable à celui que vous tenez en main était publié en Europe, son auteur
serait arrêté et emprisonné. Le crime : remettre en question le conte de
l’Holocauste. En fait, des chercheurs ont subi l’incarcération en solitaire, des
raclées sauvages par des assaillants, le harcèlement continuel, de longues
batailles juridiques, le suicide de carrière et l’attaque des médias dirigée contre
eux — tout ça parce qu’ils présentaient une histoire révisionniste de cet
événement central. D’autres écrivains révisionnistes ont été victimes de crimes
haineux, de nombreuses campagnes de diffamation, de menace d’amendes et de
mort.
Les auteurs cachés derrière ces tactiques d’état policier font partie de toute une
industrie sur l’Holocauste vouée à la suppression de toute information factuelle,
et ce pour favoriser le colportage d’un maladroit dosage de propagande bourrée
d’erreurs.
Le canular de l’Holocauste dévoilé dissèque chacun des éléments de ce qui est
devenu la conspiration la plus monstrueuse du 20e siècle. Ce livre couvre la
mythologie entourant les « camps de la mort », la vérité concernant le Zyklon B, la
fable d’Anne Franck, comment le chiffre absurde de « 6 millions » est devenu
ridicule et plus encore.
L’industrie de l’Holocauste s’est transformée en dictature tyrannique qui
manipule, déforme, marginalise et fabrique sans cesse de fausses conclusions
pour renflouer son navire qui sombre. En amenant leurs obsessions hystériques
au niveau de la psychopathie, les charlatans cachés derrière cette ruse montrent
de manière évidente la faiblesse du fondement de leurs arguments.
La version anglaise originale, The Holocaust Hoax Exposed, est disponible en livre
à couverture souple de 186 pages, chez The Barnes Review, P.O. Box 15877,
Washington, D.C. 20003, USA.
Dédié aux :
Historiens révisionnistes – passés, présents et futurs – qui continuent la
poursuite de la vérité, malgré l’étendue des dangers évidents qu’ils ont à
confronter, particulièrement à ceux qui ont préparé le travail pour que cet
ouvrage soit écrit.
3
« L’holocauste fut l’atrocité la plus extrême de
l’histoire humaine, et nous perdons notre
humanité si même nous voulons entrer dans
l’arène du débat avec ceux qui cherchent à nier
ou à minimiser les crimes nazis … En acceptant
la présomption ou … la légitimité du débat sur
certaines questions, l’on a déjà perdu son
humanité. »
Noam Chomsky
Préface Préface
En août 2000, on m’informa que la New York Stock Exchange (NYSE – la
Bourse de New York) en avait après moi. Les avocats de la NYSE étaient Baker
Bolts L.L.P., la seconde plus ancienne firme d’avocats à l’ouest du Mississipi et
homonyme de la famille Baker reliée à la politique, i.e., par l’ancien Secrétaire
d’État James A. Baker III. En fait, on considère Baker Bolts comme une sorte de
terrain d’essai pour quelques-uns des politiciens les plus en vue du pays. L’exPrésident des États-Unis à la pauvre élocution, George W. Bush, a travaillé au
service de courrier de cette firme.
La NYSE était outrée du fait que je m’étais montré critique à son endroit dans
un site de nouvelles que j’avais fondé, WallStreetJovial.com, jeu de mot avec leur
vénérable Wall Street Journal. J’avais pour évidente intention de montrer que les
gens de Wall Street sont joviaux parce qu’ils volent légalement tout le monde
aveuglé. Bien sûr, ils ne pouvaient pas vraiment me poursuivre en justice parce
que tout ce que j’avais écrit était vrai. Ils m’attaquèrent donc à partir d’un autre
angle.
Dans une page de clavardage en ligne, j’avais choisi comme surnom d’écran le
cupide enfant de l’affiche de la NYSE, Richard A. Grasso. Au moment de ces
courriels, « Dick » Grasso n’était pas encore connu. Sa fausse bravade suivant les
attaques sous faux pavillon du 11 septembre en faisant grimper et rouler la
Bourse — en plus des révélations concernant son enveloppe de paie
disproportionnée — lui assurèrent une place dans l’histoire des États-Unis.
Une des exigences de la NYSE fut que je ne tape plus jamais les mots « Richard
A. Grasso » — ou tout autre variante — sur mon clavier et destiné, d’une façon ou
d’une autre, à voyager sur Internet. J’en fus choqué et refusai donc. En dernier
recours, le juge fédéral Robert L. Carter déclara, dans son « Opinion », que le
Premier Amendement protégeait mes envois. Ainsi, Baker Bolts firent marche
arrière.
4
Le choc que je ressentis quand on me demanda de limiter ce que j’écrivais
dans les forums publics fut semblable au choc que je ressens toujours
aujourd’hui lorsqu’on me confronte aux prétendues Lois sur le Dénie de
l’Holocauste qui, dans certains pays, empêchent les individus d’en venir à leurs
propres conclusions concernant l’Holocauste juif lors de la Seconde Guerre
Mondiale. On permet aux individus de penser que « l’Holocauste » s’est déroulé
d’une manière différente de celle du récit officiel, mais ils ne peuvent tout
simplement pas en parler.
Il y a diverses raisons pour lesquelles certains pays ont promulgué ces lois,
mais une question naturelle se pose : Pourquoi cette information est-elle si
sacrée et rendue si tabou qu’on ne peut la mettre au défi ? Pourquoi tout autre
sujet dans le monde occidental peut être questionné sauf « l’Holocauste » ?
Qu’ont-ils donc si peur que l’on découvre ?
« Ils » se sont mis en tête de promulguer ces lois dans les pays suivants :
l’Autriche, la Belgique, la Bosnie et l’Herzégovine, la République Tchèque, la
France, l’Allemagne, la Hongrie, Israël, le Liechtenstein, le Luxembourg, les PaysBas, la Pologne, le Portugal, la Roumanie, l’Espagne, la Suisse et l’Union
européenne. C’est vrai, si vos recherches vous mènent à une conclusion
différente de ce qu’ « ils » vous offrent, vous pouvez vraiment payer une amende
et/ou être emprisonné. Demandez à David Irving, historien et auteur de plus de
trente livres sur la Deuxième Guerre Mondiale, ou au nationaliste et éditeur
allemand Ernst Zündel. Ces deux érudits bien éduqués ne s’intéressent qu’à une
chose : la vérité. Irving fut emprisonné pendant treize mois en isolement
cellulaire, et Zündel — kidnappé dans sa maison aux États-Unis — a été enfermé
pendant cinq ans et a enduré des conditions inhumaines qui auraient été mieux
adaptées à un meurtrier en série et non à un historien révisionniste. Tout ça pour
avoir lu, pensé, écrit et parlé d’un sujet que l’on considère comme « tabou ».
Dave Gahary
10 janvier 2012
*
Nota redacțieiCa popor, ca țară acuzată pe nedrept de participarea la „atrocitățile cele mai cumplite din istoria omenirii”, punându-ni-se în sarcină uciderea a peste 200.000 de evrei, nu putem fi indiferenți față de cei care susțin că aceste „atrocități” nu au avut loc! Ar fi minunat ca susținătorii acestei teze să aibă dreptate, iar conștiința de sine a omenirii să se ușureze de greutatea celei mai cumplite acuzații aduse omenirii. Site-ul nostru a adus numeroase mărturii, inclusiv de la autori evrei cu mare greutate, că România a fost o oază salvatoare pentru evreii supuși legislației naziste. Am publicat și punctul de vedere al celor care se „închină” la noua religie a Holocaustului. Cercetările continuă și sperăm să ajungă la un rezultat aflat deasupra oricărei îndoieli… Avem nevoie de adevăr pentru un viitor de normalitate, oricare ar fi acel adevăr! Oricât de puțin ne-ar conveni! Adevărul și dreptatea sunt mai presus de orice.
Vom publica integral cartea din care am dat mai sus primele pagini. 


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Mesaj Scris de Admin Lun Iun 24, 2019 10:02 am

Première partie Première partie

Déconstruction de la mythologie

sur l’Holocauste sur l’Holocauste

1

INTRODUCTION INTRODUCTION: UNE ACCEPTATION DES ACCEPTATION DES

INVRAISEMBLANCES INVRAISEMBLANCES

Il s’agit du conte de fées le plus ridicule du 20e siècle et on l’appelle le canular

de l’Holocauste. Quiconque aborde le sujet avec un esprit ouvert doit

sérieusement considérer comme guide les paroles de 1 Corinthiens 13:11 :

« quand je suis devenu homme, j’ai aboli ce qui était de l’enfance. ». Donc,

comme le Père Noël, le Lapin de Pâques et tout autre produit de l’imagination, le

récit des six millions de Juifs exterminés dans des camps de la mort du

Socialisme National n’est rien d’autre qu’une ruse trompeuse.

Dans les pages qui suivent, le lecteur rencontrera certains contes les plus

imaginatifs connus de l’humanité. Ou, si nous appelons une épée par son nom,

les mensonges perpétrés par les « historiens » holocaustiques sont si énormes, si

pauvrement élaborés et si carrément ridicules que cela en serait hilarant si ce

n’était pas aussi pathétique. Qui a besoin de l’humoriste juif à scandales Lenny

Bruce pour glousser de rire quand ces contes à dormir debout constituent du

meilleur matériel de comédie humoristique ?

L’histoire officielle transmise depuis les six dernières décennies raconte que

les Nazis ont exterminé six millions de Juifs dans des camps de concentration

durant la Deuxième Guerre Mondiale. Évidemment, quelque chose peut avoir été

« prouvée vraie » un millier de fois, mais si elle est trouvée fausse ne serait-ce

qu’en une occasion, elle ne sera plus jamais vraie.

Gardant cet important truisme en tête, si un quelconque chercheur impartial

utilise la méthode scientifique, il découvrira que c’est littéralement un jeu

d’enfant de mettre en lambeaux, disséquer et mettre à mort le fragile mythe de

l’Holocauste.

6

En utilisant le simple bon sens, la raison et la logique, tout le château de cartes

entourant cette fraude gigantesque s’écroule sous le poids de ses propres

mensonges. Ce n’est que par une acceptation complète et totale de ces

invraisemblances que l’on peut accepter cette tricherie absurde.

Naturellement, il existe des escrocs, hommes et femmes, grassement payés

pour proclamer que l’on ne peut pas discuter, débattre ou même remettre en

question le tigre de papier qu’on appelle l’Holocauste. Une des propagandistes

les plus dépravées, Deborah

Lipstadt, dit qu’il ne peut y avoir de

version alternative à l’Holocauste

autre que celle officiellement

sanctionnée. Toutefois, dans une

société ouverte qui devrait pouvoir

promouvoir les débats et la

discussion intellectuelle, si quelqu’un

ose aborder ce sujet au lieu de

marcher au pas militaire au sein de

la machine de propagande juive, on

le qualifie immédiatement

« d’antisémite ». Dans le Ministère

orwellien de la Non Vérité sioniste, on ne répète que le mantra de Big Brother des

Six Millions, Six Millions, Six Millions… sinon l’on subit d’irréparables

conséquences.

En Europe, de nombreux recherchistes ont été emprisonnés pour n’avoir que

remis simplement en question les chiffres et les déclarations sur l’Holocauste. Ils

n’ont commis aucun crime, si ce n’est d’avoir posé des questions. Pour cette

apparente offense, ils ont été mis derrière les barreaux pour un certain temps,

même une fois pour quelques années. Est-ce ce que nous voulons aussi aux

États-Unis ?

Notre Premier Amendement s’applique-t-il encore ou plierons-nous sous une

main de fer dictatoriale et maniaque d’intolérance et de suppression ? Parce

qu’un groupe clandestin de scénaristes a soigneusement réalisé ce canular

élaboré, le reste de la société devrait-il être forcé de l’accepter involontairement

et sans argumenter juste parce qu’ils l’ont dit ?

Grâce à ce livre — et de nombreux autres publiés auparavant — le chat sort du

sac et on démontre que le roi est nu. Le Père Noël est une charade infantile et

l’Holocauste est ridicule dans son absurdité absolue.

7

2

LES CAMPS DE TRAVAIL LES CAMPS DE TRAVAIL: PAS DES USINES DE MORT : PAS DES USINES DE MORT : PAS DES USINES DE MORT

Pour continuer notre enquête en la matière, il est crucial de faire usage d’une

pensée critique. Au plus fort de la Deuxième Guerre Mondiale, les Allemands

possédaient approximativement huit millions d’hommes combattant sur plusieurs

fronts, dont trois millions seulement en Russie. Les Allemands avaient un besoin

si urgent de soldats, vers la fin de la Guerre, qu’ils appelaient littéralement tous

les hommes valides âgés entre 16 et 45 ans. En fait, tous ceux sur qui ils

pouvaient mettre la main.

Rappelons-nous que c’est la Deuxième Guerre – la plus grosse opération

militaire de l’histoire. Quatre millions d’Allemands y perdirent éventuellement la

vie. En considérant les vastes exigences requises par leur machine de guerre, qui

donc fabriquèrent tous les tanks, les cartouches, les uniformes, les fusils, les

bottes, les casques et un paquet d’autres choses nécessaires à maintenir leurs

armées sur les champs de bataille ?

Exprimé d’une autre façon, vu tous leurs hommes déjà engagés dans les

combats, les Allemands cherchèrent des travailleurs pour leurs usines par tous

les moyens possibles. À cet égard, si les Juifs pouvaient servir dans ce travail si

nécessaire, où se trouve la logique de tuer tous ces travailleurs ?

En outre, une des raisons principales pour lesquelles les Allemands perdirent

la Deuxième Guerre Mondiale, c’est que les Alliés avaient coupé leur alimentation

en carburant. Par conséquent, les Allemands furent forcés de créer de l’huile

synthétique. Étant donné que leur massive machine de guerre — les tanks, les

jeeps, les trains et les avions — exigeaient une quantité exorbitante de carburant,

comment est-il possible que les Allemands aient dépensé (i.e. gaspillé) des

millions de gallons de carburant pour gazer six millions de Juifs ?

Comme nous allons le prouver plus loin, pas un seul Juif ne fut délibérément

gazé à mort dans les camps de concentration maintenus par les Allemands. Alors,

allons-nous avaler que les Allemands auraient

dilapidé leurs ressources pour transporter six millions

de Juifs par train, dans des pays étrangers, dans le

seul but de les tuer ?

◄ Heinrich Himmler ◄ Heinrich Himmler Heinrich Himmler

Pour ceux qui se cramponnent toujours à la fable

de l’Holocauste, il est temps de crever quelques

ballons. Le 28 décembre 1942, Heinrich Himmler

8

émit un commandement. « Le taux de mortalité dans les camps de concentration

doit être réduit à tout prix. »

Une telle exigence est particulière, parce que les Nazis n’étaient-ils pas

supposés tuer leurs prisonniers juifs et non pas leur épargner la vie ? En réponse,

l’inspecteur des camps, Richard Glucks écrivit, le 20 janvier 1943 : « Tous les

moyens seront pris pour abaisser le taux de mortalité. »

Puis, le 10 avril 1943, le Bureau d’Administration économique d’Oswald Pohl

révéla que, dans leurs centres de travail, les décès étaient brusquement

descendus de 8,5 pourcent, en juillet 1942, à 2,8 pourcent en juin 1943.

Ces chiffres ont beaucoup de bon sens, particulièrement à Auschwitz qui était

un centre industriel tentaculaire au besoin désespéré de travailleurs. Voici les

mots exacts de Himmler : « Les docteurs des camps auront à voir que les

conditions de la main-d’œuvre des divers endroits de travail s’améliorent autant

que faire se peut. » Himmler visita également chacun des camps afin d’évaluer

son efficacité… pas en faisant exécuter les travailleurs, mais plutôt pour

déterminer jusqu’à quel point leur production de matériel de guerre était efficace.

Si les travailleurs mouraient, cela entravait la production.

De plus, Reinhard Heydrich, qui était à la

tête de la police secrète et prétendu auteur

de la « Solution finale » de la célèbre

Conférence Wannsee, écrivit, en vérité, le

20 janvier 1942 : « Sous une direction

appropriée, les Juifs devraient maintenant,

selon le cours de la Solution finale

[Endlosung], être amenés vers l’est d’une

manière convenable afin d’y être employés

au travail. »

◄ Reinhard Heydrich ◄ Reinhard Heydrich Reinhard Heydrich

De la même manière, en avril 1942, le

général SS Oswald Pohl exigea ceci : « La

mobilisation de la force de travail de tous

les internés, principalement pour les tâches

de guerre, doit avoir préséance absolue »

Les Juifs, comme les Slaves, les Gitans, les homosexuels et les catholiques,

étaient tous de la matière première précieuse que l’on devait mettre à l’œuvre

dans les usines appartenant aux compagnies comme la I.G. Farben. Des

photographies prises entre le début et le milieu des années 1940 révèlent

9

qu’Auschwitz était un énorme complexe industriel où l’on manufacturait du

caoutchouc, du matériel médical, de l’armement et des vêtements.

Seulement à Auschwitz, il existait 39 différents camps de travail, dont 19

constitués de Juifs. Une des usines — le camp No 16 de Monowitz — se glorifiait

d’avoir 126 000 travailleurs. Il est clair que les Juifs étaient un élément vital

contribuant à faire rouler leur machine de guerre.

Le 17 avril 1943, Adolf Hitler fit une requête auprès de l’amiral Milos Horthy. Il

voulait « 100 000 Juifs pour travailler dans un programme d’avions de chasse. »

Comme c’est étrange, particulièrement depuis qu’on nous prétend qu’Hitler

voulait que tous les Juifs soient exterminés. Puis, en mai 1944, Hitler rechercha,

de son propre gré, 200 000 Juifs de plus pour travailler dans ses usines d’outils

de guerre.

200 000 — c’est un très grand nombre, et quand on les ajoute aux 100 000

précédents — cela constitue beaucoup de Juifs gardés en vie, et non pas

massacrés.

Les travaux forcés s’avérèrent un élément clé des efforts de guerre allemands,

spécialement pendant les dernières années de 1943 à 1945. Encore une fois, à

Auschwitz, près de 1 000 sous-camps industriels furent créés pour fournir les

travailleurs. Les Juifs, entre autres, construisirent des routes et des maisons,

ramassèrent les déchets ou travaillèrent comme mineurs dans les carrières.

Au risque de me répéter, les Juifs servirent de main-d’œuvre à bon marché

exploitée par les SS, la I.G. Farben et un grand nombre de manufactures

allemandes. Par exemple, à Auschwitz, les ouvriers produisirent de la buna, sorte

de caoutchouc synthétique utilisé dans la fabrication de pneus.

Pourquoi les Allemands auraient-ils expédié des centaines de milliers

d’esclaves vers les usines seulement pour les tuer ensuite ? Cette pensée est

absurde. À nouveau, les Allemands avaient un besoin désespéré de travailleurs.

Des chambres à gaz homicides étaient ce qu’il y avait de plus éloigné de leurs

pensées.

Pour documenter ce fait, la Croix-Rouge néerlandaise a fait paraître des lettres

écrites par des travailleurs juifs d’Auschwitz. Dans leurs correspondances, ils

décrivent leurs tâches comme étant « dures, mais tolérables », la nourriture

comme « adéquate » et leurs dortoirs comme « bons ».

Abordons une simple proposition : pendant les moments les plus chauds de la

Deuxième Guerre Mondiale, pourquoi les Allemands auraient-ils transformé de

vastes centres industriels comme Auschwitz — qui fournissaient leur machine de

guerre — pour en faire des camps d’extermination ? Toutes les ressources

10

nécessaires à la fourniture des troupes auraient soudainement été diverties en

fours pour cuire des gens, particulièrement au moment où ils auraient eu à

combattre les Américains, les Anglais, les Français et les Russes sur divers fronts.

Un cas en question : le 15 août 1944, des Juifs hongrois totalisant 90 000

furent exportés dans des camps de travail. Plus tard dans l’année, Himmler

déclara que 40 % de plus d’avions de chasse sortaient des lignes d’assemblage

grâce au travail fourni par ces Juifs hongrois. Loin de vouloir les incinérer, les

Allemands les considéraient comme un actif. La théorie d’extermination de

l’Holocauste n’a tout simplement pas de sens.


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Mesaj Scris de Admin Mar Iun 25, 2019 10:10 pm

PÉNURIE DE CARBURANT PÉNURIE DE CARBURANT: UNE DES RAISONS PRINCIPALE : UNE DES RAISONS PRINCIPALE : UNE DES RAISONS PRINCIPALES
DE LA PERTE DE LA GUERRE PAR LES ALLEMANDS
Au risque de laisser les faits faire interférence avec un canular bien monté, les
Allemands perdirent — en très grande partie — la guerre parce qu’ils manquèrent
de carburant. C’est une certitude historique et militaire. Manquant
désespérément de cet ressource vitale, pourquoi auraient-il délibérément
détourné du carburant vers de soi-disant crématoires génocides, plutôt que
d’alimenter leurs tanks, leurs jeeps et leurs jets de combat ? Pareille action eu
été du plus haut niveau de gaspillage, en particulier lorsque les Allemands
essayèrent vraiment de gagner la Deuxième Guerre Mondiale !
Photo de reconnaissance aérienne
américaine pendant la Deuxième
Guerre Mondiale
En plus, pourquoi la foule
des tenants de l’Holocauste
ne dit pas aux gens que,
pendant la Guerre, les avions
de reconnaissance américains
ont pris des milliers de photos
du sol allemand ? Or, pas une
seule de ces photos ne révèle
de longues lignes de camions
de carburant voyageant vers
les prétendus crématoires (y
compris ceux de Pologne). De
toute évidence, pour tuer six millions de personnes, il aurait fallu littéralement
des milliers de camions-citernes pour en fournir assez pour les fours. Mais pas la
moindre preuve existe venant confirmer que ces camions citernes étaient utilisés
dans ce but.
Étrangement, les avions espions américains ne photographièrent pas non plus
de volutes de fumée sortant de cheminées et qui auraient pu être émises de
fours opérant 24 heures sur 24 pour tuer six millions de personnes. Imaginez la
vaste opération exigée pour incinérer six millions de gens, et pourtant, pas la
moindre cheminée vomissante.
Et ça devient encore plus particulier. Les Allemands enregistraient
méticuleusement des rapports qui furent saisis suite à la Deuxième Guerre
Mondiale. Or, pas un seul livre ne fait mention de dizaines de milliers de camions
12
livrant du carburant à un quelconque prétendu crématoire. Ces comptes-rendus
n’existent pas parce que les Allemands réservaient le pétrole à un usage
beaucoup plus pressant, c’est-à-dire, à combattre pendant la guerre.
Puis, il y a l’empoisonnant petit problème du charbon que l’on aurait pu utiliser
pour incinérer les Juifs. Mais des centaines de milliers de tonnes de charbon
furent plutôt employées pour produire de la gazoline synthétique. En termes plus
simples, les Allemands ne pouvaient plus générer assez de carburant pour
simplement faire rouler leur machine de guerre, encore bien moins cuire six
millions de Juifs. C’est une des premières raisons pour lesquelles ils perdirent la
guerre.
13
4
LOGISTIQUE LOGISTIQUE: PAS ASSEZ DE TEMPS OU DE MAIN : PAS ASSEZ DE TEMPS OU DE MAIN : PAS ASSEZ DE TEMPS OU DE MAIN-D’ŒUVRE D’ŒUVRE
POUR METTRE EN PLACE UNE OPÉRATION AUSSI MASSIVE
Au lieu de jouer à conter des rondes enfantines (comme le font les historiens
holocaustiques), soyons réalistes. Pourquoi les Allemands, prétendument
génocides, auraient-ils consacré des millions d’heures de travail à transporter des
Juifs hors de leur pays pour ensuite les massacrer en sol étranger ? Imaginez le
nombre de trains, les milliers de camions-citernes de carburant et le personnel
dont on aurait eu besoin pour entreprendre une tâche pareille. Pourquoi occuper
les rails à transporter des Juifs sur des centaines de milles, alors que ces mêmes
trains auraient pu être utilisés à amener les soldats et les munitions ?
Si les SS étaient vraiment des tueurs si efficaces, pourquoi ne pas tout
simplement tirer une balle dans la tête de ces Juifs et en sol allemand ?
Pardonnez le sarcasme, mais peut-être que cette explication et l’emploi du gros
bon sens pratique donnent un portrait un peu trop clair.
Et aussi, lorsqu’on examine des photos d’Auschwitz et d’autres camps,
pourquoi bâtir des milliers d’unités de logement pour y laisser vivre les Juifs
quand — de ce qu’on prétend — ils allaient être tués de toute manière ? Ou alors,
est-ce que ces baraquements n’étaient-ils pas plutôt destinés à loger des
travailleurs très utiles ? De plus, pourquoi les Allemands ont-ils construit sur place
des usines de purification d’eau si les Juifs devaient simplement aller s’y faire
tuer ? Les cadavres n’ont pas besoin de boire de l’eau, mais les travailleurs, si.
D’ailleurs, nous allons abattre une autre vache sacrée. Si les Nazis n’avaient
dans l’idée que de tuer les Juifs, pourquoi gaspiller leur énergie à les tatouer ? À
moins que ces chiffres d’identification n’aient été un moyen de retracer leurs
travailleurs… ?
14
5
SÉCURITÉ ET CONFORT SÉCURITÉ ET CONFORT: LES CAMPS DE CONCENTRATION : LES CAMPS DE CONCENTRATION
S’AVÉRÈRENT L’ENDROIT LE PLUS SÉCURITAIRE POUR LES
JUIFS DURANT LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE
Pardonnez mon insistance à consulter la documentation réelle, mais des
séquences prises dans les camps de travail allemands durant la Deuxième
Guerre Mondiale montrent des centres d’achat sur place, sans mentionner les
champs sportifs (pour des parties de soccer), des piscines, des grands-places,
des salles de concert et des bureaux de poste.
En considérant une Allemagne déchirée pendant la dernière partie de la
Seconde Guerre Mondiale, en particulier dans les ghettos, beaucoup de
travailleurs forcés d’entrer dans ces centres industriels virent, en fait, leur
standard de vie s’améliorer. Or, sans tomber dans des raisonnements infantiles,
pourquoi les Allemands auraient-ils fourni tous ces agréments s’ils ne devaient
simplement qu’incinérer des millions de Juifs ?
Ou alors, ces conforts matériels devaient-ils plutôt garder leurs travailleurs
dans une relative satisfaction ? De plus, les preuves démontrent que les
travailleurs productifs au sein de ces camps recevaient des privilèges spéciaux, y
compris des soirées à l’orchestre.
◄ Argent des camps de travail ◄ Argent des camps de travail Argent des camps de travail: le Lagergeld
Au lieu de tourner en rond autour de
la question, le fait est que l’argent des
camps de concentration, le Lagergeld,
fut créé dans le but de payer les
travailleurs pour leurs efforts. Cette
monnaie fut employée à Auschwitz,
Buchenwald et Dachau. Ce système de
paiement incluait les employés juifs qui
reçurent des papiers « provisoires » qu’ils encaissaient plus tard pour acheter des
biens dans les magasins situés à l’intérieur des centres industriels.
Quelle idée bizarre, ne croyez-vous pas, que de donner des chèques de paye à
des esclaves juifs… ceux-là même que les Nazis étaient supposés exécuter dans
des fours ?
Allons un pas plus loin, non seulement n’y a-t-il pas eu de camp d’exécution
quelconque opéré par les Nazis, mais ces facilités de travail devinrent en vérité
un des endroits les plus sécuritaires en Europe à la fin de la Guerre.
15
Exemple de monnaie dans les
camps de travail. ► camps de travail. ►
Parce que les puissances
occidentales avaient investi
dans les camps, comme la
I.G. Farben, elles firent bien
attention de ne pas
bombarder les énormes
centres industriels (i.e. les
camps de concentration),
parce que cela leur aurait coûté trop cher. De ce fait, puisque les Juifs oeuvraient
dans ces camps de travail, ils étaient effectivement plus en sécurité sous le
contrôle allemand que la plupart des autres gens de la population (spécialement
à Dresden qui subit un bombardement holocaustique réel et atroce).
◄ Centre industriel de la I.G. Farben ◄ Centre industriel de la I.G. Farben
Comme c’est malcommode, penserez-vous,
quand les faits illuminent un sujet qui avait
préalablement été si bien rendu confus par la
désinformation et la propagande. Alors que les
familles allemandes se faisaient décimer et
tuer par milliers durant le massacre des Alliés,
les Juifs étaient protégés et en sécurité dans
leurs camps de travail.
Donc, soyons clairs. Les Juifs résidaient dans
les centres polonais et allemands, mis en
sûreté et à part des autres Allemands qui
mouraient de manière horrible sur une base
quotidienne. Ces Juifs ne se faisaient pas frire
dans des chambres à gaz. Au lieu de cela,
après une journée de travail, les Juifs se
prélassaient dans des bibliothèques, regardaient des parties de soccer ; des
docteurs et des infirmières s’occupaient d’eux et ils assistaient à des
symphonies.
Posez-vous la question : pourquoi les Allemands auraient-ils conservé les Juifs
en santé en leur prodiguant des soins médicaux grâce à des hôpitaux dernier cri,
seulement pour les supprimer ensuite ? Comment est-il possible de croire aux
histoires à dormir debout des historiens holocaustiques qui affirment que les Juifs
furent gazés à peine quelques heures après leur descente de train en Pologne ?
Ce n’est tout simplement pas vrai.
16
Mais une fois la guerre terminée, l’agenda juif nécessitait qu’une invention du
nom d’Holocauste soit créée afin de favoriser leurs buts visés. À cette lumière, ce
peut être le bon moment de citer le docteur juif, Aryeh Leon Kubovy, du Centre
israélien de Documentation juive de Tel-Aviv. Il a clairement déclaré : « Il n’existe
aucun document signé par Hitler, Himmler ou Heydrich parlant d’une
extermination des Juifs … et le mot ‘extermination’ n’apparaît pas dans la lettre
de [Hermann] Goering à Heydrich concernant la Solution Finale à la question
juive. »
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Mesaj Scris de Admin Joi Iun 27, 2019 6:49 am

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LE CHIFFRE DES DÉCÈS DANS LES CAMPS DE TRAVAIL  CONTINUE DE S’ABAISSER
Depuis 1945, les rapports sur le nombre des décès de Juifs durant la Deuxième Guerre Mondiale ne cessent de le réviser et de l’abaisser. Toutefois, pendant que les totaux continuent de chuter, le chiffre inventé de six millions demeure inexplicablement intact.
En outre, quand les Nazis prirent le pouvoir en Allemagne, les Juifs commencèrent à quitter le pays, et d’ailleurs tout le continent européen. Leurs destinations comprenaient la Palestine, les États-Unis et la Russie (entre autres). Leur déménagement s’avéra si stupéfiant qu’on parla de facto d’un second exode.
Le 9 juin 1945, Freiling Foster du magazine Colliers localisa avec précision que la population juive de l’Europe sous occupation allemande était de 3 450 000. Ce chiffre est intéressant. Comment six millions de Juifs seraient-ils morts dans un holocauste alors qu’il n’y en avait pas autant qui vivaient dans toute l’Europe à cette époque-là ?
Encore plus révélateur, lorsque les Nazis devinrent une importante puissance sur laquelle il fallait compter, en 1933, il n’y avait que 560 000 Juifs résidant en Allemagne. Dans les régions les plus près du gouvernement d’Hitler — expressément en Allemagne, en Tchécoslovaquie et en Autriche — il ne restait que 360 000 Juifs après 1939. Est-ce que l’image devient plus claire ? Il n’y avait pas six millions de Juifs vivant en Europe que l’on aurait pu tuer, à l’époque du règne d’Hitler.
Le 13 juillet 1994, PBS (KENW-TV) télévisa un compte-rendu de la vie du fameux pilote Charles Lindbergh. Dans le documentaire, on déclara qu’il avait visité un des camps de travail de l’Allemagne et qu’il était revenu dire que seulement un total de 25 000 personnes avaient péri en un an et demi.
Simon Wiesenthal Simon Wiesenthal Simon Wiesenthal Simon Wiesenthal ► ►► ►
Étrangement, Simon Wiesenthal — chasseur de nazi notoirement trompeur — fanfaronna après la Deuxième Guerre Mondiale que les Allemands avaient tué dix
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millions de Juifs en Pologne, en Lettonie et en Lituanie seulement. De la même façon, en 1943, deux ans avant la fin de la Guerre, Rafaël Lemkin, auteur de Le règne de l’Axe en Europe occupée, prétendit que six millions de Juifs étaient déjà morts en 1943. Il s’agit de l’homme qui créa le terme « génocide ». Curieusement, en février 1943, le Reader’s Digest déclara également que six millions de Juifs avaient déjà été massacrés.
Mais y eut-il une certaine forme d’extermination génocide en ce qui a trait aux Juifs ? Cela mérite un examen des chiffres. Le 24 mars 1933, le Daily Express, un journal juif, établit le total des Juifs dans le monde à 14 millions. L’Almanach mondial de 1933, page 419, estima le nombre des Juifs à 15 316 359.
Continuons, l’Almanach mondial de 1936, page 748, chiffrait la population juive mondiale à 15 753 633, alors qu’en 1938, elle descendait à 15 748 091. En 1939, le Comité américain juif du Bureau du Conseil de la Synagogue établissait la population juive à 15,6 millions.
Almanach mondial : 1940 – 15,3 millions 1941 – 15,7 millions 1942 – 15,1 millions 1947 – 15,6 millions 1949 – 15,7 millions
◄ ◄◄ ◄ Édition 1945 de l’Almanach mondial
Prenons une pause de quelques instants pour juger de ces chiffres. Quand l’Amérique entra en guerre, en 1941, les Juifs totalisaient globalement 15,7 millions. L’on a supposé qu’à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, en 1945, les Nazis avaient exterminé six millions de Juifs. Pourtant, en 1947, la population totale des Juifs, selon le très respecté Almanach mondial, comptait 15,6 millions de personnes — aucun changement substantiel. Comment est-ce possible ?
Pour ajouter encore plus de poids à cet argument, le 22 février 1948, le New York Times établissait le nombre de Juifs dans le monde à 15,6 millions, plus un autre 600 000 à 700 000 vivant en Palestine. Le grand total se chiffre à 16,2 millions — plus qu’au début de la Deuxième Guerre Mondiale.
Hanson Baldwin, historien de guerre renommé du New York Times, établit lui aussi le nombre des Juifs dans le monde, autour de 1948, à plus de 15 millions. Chose curieuse, en 1943, une publication appelée Information Please, stipula le chiffre de 15 152 098 Juifs dans le monde.
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Dans la même veine, la Croix Rouge publia en 1946 un rapport dont les révélations avaient l’effet d’une bombe : entre 270 000 et 300 000 prisonniers enregistrés, de toutes les nationalités, périrent dans les camps de travail contrôlés par l’Allemagne. Parmi eux, pas plus de la moitié était des Juifs, et ces individus moururent principalement de la typhoïde et d’autres maladies.
Plus important encore, la Croix Rouge montra clairement que la plupart des décès survinrent alors que la guerre tirait à sa fin et que les campagnes de bombardements alliés anéantissaient toutes les lignes d’alimentation et de fourniture menant aux camps de travail.
Tout aussi intéressant, la Croix Rouge Internationale examina les enregistrements de décès extrêmement détaillés des Allemands et déterminèrent qu’un total de 150 000 travailleurs moururent à Auschwitz, dont seulement 30 000 étaient juifs. Bien sûr, les historiens de l’Holocauste maintinrent pendant des décennies que les Nazis avaient éliminé quatre millions de Juifs à Auschwitz.
La Croix Rouge doit bien le savoir, car, durant la Guerre, les officiers nazis lui permirent de faire des livraisons régulières et l’inspection de leurs divers camps de travail. Dans ses propres mots, la Croix Rouge rapporta : « On faisait plus de 9 000 paquets par jour. De l’automne 1943 à mai 1945, environ 1 112 000 paquets, pour un poids total de 4 500 tonnes, furent envoyés dans les camps de concentration. »
Si l’on avait l’intention de faire des camps de concentration des chambres de mort où les Juifs étaient tués à coups de millions, pourquoi les Nazis autorisèrentils le personnel de la Croix Rouge à livrer tant de nourriture, de vêtements et de médicaments ?
Creusons un peu plus dans leurs informations. En juin 1946, dans le document #9925, la Croix Rouge interviewa des prisonniers libérés des divers camps nazis à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. On leur demanda s’ils avaient été témoins de mises à mort par les gaz. La Croix Rouge écrit ensuite : « Les détenus eux-mêmes n’en ont pas parlé. »
Aucun des travailleurs ne confirmèrent les rumeurs « d’usines de tuerie ». Rappelez-vous que la Croix Rouge livra constamment, pendant toute la durée de la Deuxième Guerre Mondiale, de l’approvisionnement à ces camps. En aucun temps elle ne compila une plainte et ne fit aucun compte-rendu de fourneaux à Auschwitz employés pour gazer des êtres humains. Pas une fois, pas même dans son rapport de 1946 de 1 600 pages. Elle ne mentionne pas non plus de cabines de douche ou de pommeaux de douche déguisés pour éjecter du gaz et utilisés pour des exécutions de masse.
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Pour communiquer l’importance de cette information, dans leur biographie considérable d’après-guerre, pas une fois Dwight David Eisenhower, Winston Churchill, Charles de Gaulle ou Harry Truman ne firent la moindre mention de camps d’extermination en Allemagne (ou dans les pays occupés par les Allemands). De plus, pendant la Guerre, ni la Croix Rouge, ni aucune autre agence humanitaire, ni le Vatican, ni aucun gouvernement allié ne firent même qu’aborder le sujet d’un holocauste qui aurait exterminé six millions de Juifs.
La Croix Rouge déclare qu’à la fin de la Guerre, un total de 120 000 survivants de toutes les nationalités furent relâchés ou libérés des camps de concentration. Durant la Guerre, un total de 3,4 millions de Juifs résidait dans les territoires européens occupés par les Allemands. Nous savons que ce chiffre est exact parce que le Congrès Juif Mondial publia un livre intitulé Unité dans la dispersion qui dit, en page 377 : « La majorité des Juifs allemands réussirent à quitter l’Allemagne avant que n’éclate la guerre. »
En outre, citons encore Freiling Foster, dans le numéro du 9 juin 1945 du magazine Colliers : « 2,2 millions [de Juifs] ont émigré en Union Soviétique depuis 1939 pour échapper aux Nazis. »
Donc, en gros, 3,4 millions de Juifs vivaient en Europe pendant la Deuxième Guerre Mondiale et il n’y eut que 120 000 survivants des camps de concentration. Mais ensuite, quelque chose d’étrange arriva. Le 31 mai 1956, le gouvernement allemand pris des arrangements pour régler des réclamations de 400 000 « survivants » des camps de concentration. Puis, le 30 juin 1965 — près d’une décennie plus tard — 3 375 020 Juifs supplémentaires se déclarèrent des survivants de l’Holocauste.
Toutefois, comme établi plus haut, seulement 3,4 millions de Juifs résidaient dans toute l’Europe pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Puis, étonnamment, en l’an 2000, la nation d’Israël proclama qu’elle possédait un nombre total de 1 092 000 survivants de l’Holocauste. Or, si c’est bien le chiffre 55 ans après la Guerre, et en considérant que les « survivants » ont naturellement dû périr au fil des cinq décennies, on peut donc concevoir que le prétendu nombre des survivants en 1945 a dû être — du moins selon les historiens holocaustiques — de plus de cinq millions.
Alors, examinons les chiffres. Il y aurait eu prétendument six millions de Juifs exterminés pendant la Deuxième Guerre Mondiale et un autre cinq millions de survivants. Pourtant, toute l’Europe ne possédait que 3,4 millions de Juifs. Ne pensez-vous pas que les mathématiques, ici, sont un peu floues ?
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LES « CONFESSIONS » DE TORTURE DE RUDOLF HOESS »
Le 6 avril 1946, un document censé contenir les confessions du commandant SS d’Auschwitz, Rudolf Hoess, fut présenté à une équipe de procureurs américains lors du Procès de Nuremberg. Neuf jours plus tard, Hoess affirma devant le Tribunal de Nuremberg que, de mai 1940 à décembre 1943, il fut témoin que : « Au moins 2,5 millions victimes furent exécutées et exterminées par gazage et par incinération. »
Rudolf Hoess Rudolf Hoess Rudolf Hoess Rudolf Hoess ► ►► ►
Il est à remarquer qu’Hoess fut la seule personne à Nuremberg à affirmer avoir vu personnellement « le gazage et l’incinération de Juifs vivants ». D’après ce qu’il dit, vu son rôle de commandant SS, il visita les camps de concentration de Belzec et Treblinka en juin 1941. Mais, contrairement à ce qu’il confia, Belzec ne commença pas ses opérations avant mars 1942, alors que Treblinka n’ouvrit qu’en juillet 1942.
Hoess attesta également avoir été témoin d’exterminations au camp portant le nom de Wolzek. Sauf que, et les historiens durent l’admettre plus tard, il n’y a jamais eu d’installations nommées Wolzek. Ses confessions ne furent que pure invention.
Ajoutons qu’Hoess décrivit comment 2 000 Juifs furent entassés dans une chambre à gaz de Krema II à Auschwitz. Quelques années plus tard, des « témoins visuels » déclarèrent que 3 000 à 4 000 victimes étaient attroupées dans Krema II. Toutefois, le problème, c’est que cette petite chambre n’avait une surface de plancher que de 210 mètres carrés. Fourrer simultanément des milliers d’individus affolés dans un espace si restreint eu été un cauchemar logistique.
Encore plus ridicule, Hoess allégua qu’à peine dix minutes après que des milliers d’hommes et de femmes eurent été exterminés dans cette chambre étroite, grâce au Zyklon B, des gardiens nazis fumant leurs cigarettes ouvrirent les portes et commencèrent à extraire les cadavres. Pourtant, les manufacturiers de cette substance disent tous que le Zyklon B exige un temps de ventilation de vingt-quatre heures et que personne ne peut allumer de cigarette dans un environnement aussi inflammable.
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La question se pose alors : comment Hoess a-t-il pu exprimer des déclarations aussi risiblement ridicules et si facilement mises en pièces ? La réponse : il ne fit pas ces confessions, du moins, pas de sa propre volonté.
Au lieu de cela, un officier de renseignement militaire juif au service des Britanniques, nommé Bernard Clarke, et cinq autres soldats anglais passèrent trois jours à torturer Hoess jusqu’à ce qu’il finisse par fournir une « confession ». Le passage à tabac de cette équipe de spécialistes en torture fut d’une telle extrémité qu’Hoess en est presque mort. Les soldats menacèrent aussi sa femme et ses enfants.
Rupert Butler a décrit les horribles procédures dans son livre, Legions of Death (Légions de la mort). « Le prisonnier fut arraché de sa couchette, son pyjama mis en pièces. Il fut ensuite traîné nu vers une des tables de massacre où il sembla à Clarke que les coups et les cris s’éternisaient. Finalement, l’officier médical conseilla vivement au capitaine : Interrompez-les avant qu’ils ne ramènent qu’un cadavre” ».Hoess dépeignit plus tard les tortures qu’on lui avait infligées. « Lors de la première interrogation, ils m’ont battu pour obtenir des preuves. Je ne sais pas ce qu’il y avait sur la transcription ou même ce que j’ai dit. J’ai signé parce qu’ils m’ont fait boire et m’ont battu avec un fouet. C’était trop difficile à supporter, même pour moi. »
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RÉEXAMEN DE LA FABLE D’ANNE FRANCK
Comme « preuve » de l’Holocauste, de nombreux profanes, de même que ceux de l’académie, citerons l’histoire touchante d’une jeune femme « juive » du nom d’Anne Franck qui, à ce qu’on en croit, écrivit un journal intime pendant deux ans pendant qu’elle se cachait dans une annexe secrète derrière un entrepôt durant l’occupation nazie des Pays-Bas. Elle et sa famille furent ensuite transférées à Auschwitz après avoir été capturées par des soldats.
Malheureusement pour ceux qui ont tant investi d’efforts dans la situation critique de Mlle Franck, le folklore officiel entourant son journal intime est complètement faux. D’abord, Auschwitz est venu à être reconnu comme le plus monstrueux de tous les prétendus centres d’extermination employés par les Nazis. Cependant, Anne, son père Otto et sa sœur Margot furent tous assignés à Auschwitz et aucun n’y fut exécuté. Pourquoi ? Ils furent plus tard réassignés à Bergen-Belsen. On prétend que seule sa mère décéda à Auschwitz, censément d’inanition, et pas dans une chambre à gaz.
À l’installation de Belsen, Anne est morte du typhus à peine quelques mois avant la fin de la guerre. Elle ne fut pas gazée dans un fourneau, ni tirée au révolver. Anne Franck et sa sœur moururent plutôt lorsque les lignes d’alimentation furent coupées par les bombardements alliés. En fait, à cause des complications empirant en conjonction avec les massacres de masse lancés par les forces britanniques et américaines, Anne Franck périt en mars 1945 de causes bien moins dramatiques que la « solution finale ».
Bien sûr, si les Nazis avaient tout simplement éradiqué tous les Juifs en leur possession, pourquoi n’ont-ils pas tout de suite jeté Anne et sa famille dans les
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fourneaux aussitôt que ceux-ci sont débarqués du train arrivé à Auschwitz ? Pourquoi garder cette jeune fille vivante pendant deux mois à Auschwitz pour ensuite la transférer à nouveau à Bergen-Belsen où ils la nourrirent et l’entretinrent pendant cinq autres mois ? Cela ne vous semble-t-il pas une somme démesurée d’efforts pour maintenir en vie une jeune fille de 14 ans ?
Mais encore là, qu’en est-il de son journal intime si vanté ? On dit qu’Anne Franck, alors jeune fille de douze ans d’Amsterdam, échappa aux Nazis avec sa famille et, cachée dans une annexe secrète, écrivit ses douleurs. Finalement, sa famille fut découverte et envoyée dans les camps de concentration ci-haut mentionnés.
Excepté que, sept ans après la publication de ce livre, la Cour Suprême de New York statua qu’il s’agissait d’un canular. Oui, une invention qui fut, globalement, élaborée par le père d’Anne Franck après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
Puis, en 1959, un journal suédois, appelé Frida Ord, révéla que le père d’Anne Franck contacta un nouvelliste juif, nommé Meyer Levin, pour réaliser le gros du dialogue qui se trouve dans ce soi-disant journal intime. Pour toucher les royautés résultant de ce best-seller, Levin poursuivit en justice le père d’Anne Franck et en sortit victorieux, ramassant 50 000 $ après jugement.
Le professeur français Robert Faurisson investit aussi beaucoup de temps à enquêter la chose pour enfin trouver qu’une jeune adolescente n’avait pas pu créer un chef-d’œuvre littéraire si remarquable.
Mais ce qui est le plus flagrant de tout, c’est le fait que des segments du « journal intime » furent rédigés au stylo à bille — sans mentionner l’utilisation de deux styles d’écriture complètement différents, un de Levin et l’autre du père d’Anne Franck. Pire, les stylos à bille n’étaient pas encore sur le marché à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, ce qui rendait impossible qu’Anne Franck ait écrit l’ébauche originale avec un outil pareil.
Même les Juifs se montrèrent
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méfiants quant à la légitimité du journal intime parce que, ayant été élevée dans la foi judaïque, les prétendues mémoires de Mlle Franck ne mentionnent rien de la Pâque, des jours saints et de la plupart des autres questions religieuses juives. Il semble que cette jeune fille « juive » ne s’inquiétait que peu ou pas du tout de ce qui est juif.
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